Maintenant que vous connaissez les figures de style incontournables (et, si vous ne les connaissez pas, je vous invite, non, je vous conjure d’aller lire le premier article à ce sujet !), il est temps de s’intéresser à celles qui sont moins connues ou moins employées. Cependant, n’ayez crainte, derrières leurs noms farfelus se cachent des mécanismes généralement faciles à comprendre, mais qui ont l’avantage d’être plus originaux ou inattendus que les effets de style classiques. Je me suis donc permise d’en faire une petite sélection pour que vous ayiez de quoi pimenter vos écrits ou briller en société (bon, j’avoue, cet argument était là pour vous faire lire l’article, c’était un leurre).
sommaire
- L'étrange figure d'analogie
Rappel : une figure d’analogie a pour but d’établir un rapprochement ou un parallèle entre deux éléments concrets et/ou abstraits, et ce de façon plus ou moins implicite. Celui qui fait l’objet de la comparaison, c’est-à-dire qui est réel, est le comparé, tandis que l’autre, qui est une image, est le comparant. En fonction des figures de style auxquelles on s’intéresse, d’autres éléments peuvent intervenir.
- La prosopopée
La prosopopée consiste à prêter le don de la parole à quelqu’un ou quelque chose qui n’en dispose pas, comme une personne morte/absente, un animal, un objet, ou un ensemble concret ou abstrait comme la nature. Elle est semblable à la personnification, mais ne concerne que le langage, comme montré dans l’exemple ci-dessous. Son intérêt est d’instaurer une ambiance magique, fantastique, tout en pouvant servir une forme d’argumentation indirecte : en effet, les êtres invoquées, en se dotant du langage, vont pouvoir remplir un rôle, comme celui de juge, de témoin ou encore de garant, représentant par la même occasion les concepts abstraits qui y sont rattachés.
Ainsi, la prosopopée peut aussi revêtir des allures d’allégorie, mais contrairement à cette dernière et à la personnification, la prosopopée peut faire appel à d’autres figures de style, la rendant difficilement qualifiable de simple figure d’analogie (j’aurais d’ailleurs très bien pu la placer chez les figures jouant sur le discours, car c’en est une aussi).
- Les figures de substitution méconnues
Rappel : les figures de substitution consistent à créer un lien d’équivalence entre deux termes ou expressions en remplaçant ou en supprimant des mots dans la relation logique qui les unit. La plupart d’entre elles sont rentrées dans l’usage, mais elles peuvent aussi être mises à profit de façon inattendue.
- L'anacoluthe
L’anacoluthe touche à la construction de la phrase (c’est donc aussi une figure de construction), puisqu’elle désigne une rupture ou une discontinuité dans la syntaxe ou dans la logique des mots attendue, de façon volontaire ou non. Ainsi, à l’écrit, il est parfois difficile de distinguer une erreur de syntaxe d’une anacoluthe, ce pourquoi on l’observe rarement et qu’il est nécessaire de bien connaître les règles de syntaxe avant d’essayer d’en dévier. A l’oral, en revanche, il est fréquent d’employer des structures syntaxiques pouvant se rapprocher des anacoluthes, les règles orales étant plus souples et moins normées. Par ailleurs, le but de l’anacoluthe est normalement d’alléger un énoncé ou de provoquer un effet de surprise, mais il arrive qu’elle apparaisse comme tout simplement confuse voire incompréhensible si elle s’éloigne trop de la construction syntaxique attendue. Bref, l’anacoluthe est à utiliser avec parcimonie : de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités – ne grillez pas les neurones de votre lectorat avec des anacoluthes trop alambiquées, il vous en sera reconnaissant.
Comparons donc le degré de deux anacoluthes :
Ici, l’anacoluthe est simple, puisqu’elle se base uniquement sur la rupture entre « Exilé » et « Ses ailes de géant ». En effet, on s’attendrait à ce que l’adjectif qualifie l’albatros : à la place, il est fait mention des « ailes de géant » de celui-ci, rompant avec la structure anticipée, sans rendre l’énoncé difficile à comprendre pour autant.
La construction de cette phrase dévie beaucoup de la syntaxe normale : les verbes ne sont pas conjugués de façon logique, et les relations syntaxiques entre les trois membres de la phrase sont incorrectes. Elle devient donc assez lourde (et potentiellement désagréable) à lire, tout en rendant difficile la compréhension de l’énoncé.
- L'hypallage
L’hypallage désigne le fait de déplacer ou d’intervertir les éléments qui se rapportent logiquement à certains mots d’une phrase afin de les placer auprès d’autres mots afin de créer des images inattendues. Généralement, les éléments en question sont des adjectifs.
Ici, l’adjectif « avide » qualifie « comptoir » au lieu de « marchand », mais cela révèle le caractère avide du marchant nonobstant.
- l'énallage
Tout comme l’hypallage, l’énallage a pour but de créer une impression d’inattendu, cette fois-ci en intervertissant des constructions ou des formes. Et tout comme l’hypallage, l’énallage est un nom féminin qui se fait prendre pour un nom masculin (ce qui les rend très tristes, alors ne faites pas cette erreur !). Notons cependant que cette définition est la plus courte que l’on puisse donner, puisque l’énallage se définit de façon plus précise comme étant une distorsion de la langue qui consiste en une commutation de temps, de mode, de nombre ou de personne pour un autre temps, un autre nombre ou une autre personne. En ce sens, elle peut être vue comme une forme d’anacoluthe, tout en se rapprochant d’une ellipse. Cela vous semble obscur ? Regardons ces quelques exemples tirés de la littérature mais aussi du langage courant :
Dans le premier exemple, « vous » est remplacé par « tu », ces deux pronoms étant employés pour désigner la même personne.
Dans les second et troisième exemples, on observe une substitution d’un temps pour un autre : dans l’exemple de La Fontaine, l’indicatif « applaudirent » devient un infinitif introduit par « de » ; dans l’exemple du langage courant, le futur simple « partirai » est remplacé par le présent de l’indicatif « pars »
- le zeugma
Derrière ce mot quelque peu farfelu qui vous rapportera au moins 18 points au Scrabble se cache une forme d’ellipse qui peut revêtir différentes allures. En effet, les zeugmas, aussi appelé zeugmes ou attelages, peuvent être classés selon deux catégories : le zeugma syntaxique et le zeugma sémantique.
Le zeugma syntaxique touche à la grammaire de la phrase ; en effet, il permet d’éviter la répétition d’un élément syntaxique en y liant deux énoncés. Cela donne donc une structure où l’élément que l’on ne souhaite pas répéter est prononcé dans le premier énoncé et seulement sous-entendu dans le deuxième. Les deux énoncés, qui sont donc deux éléments de la phrase, peuvent être de nature grammaticale différente afin de renforcer le zeugme.
Dans cette phrase, nous pouvons voir que le verbe « savent » est rattaché à deux éléments de phrase : « compter l’heure » et « que leur terre est ronde ». Ainsi, le verbe appartient explicitement à un premier énoncé, « ils savent compter l’heure » et est sous-entendu dans un second, « ils savent que leur terre est ronde ».
Maintenant, intéressons-nous au second type de zeugma : le zeugma sémantique. Essentiellement, il s’agit de la version sémantique du zeugma syntaxique, puisqu’il s’agit d’atteler deux termes sémantiquement différents à un troisième. Généralement, l’un des termes va avoir un sens concret et l’autre abstrait, ce qui permet d’obtenir des phrases à la fois imagées, surprenantes et poétiques. Le zeugma sémantique est donc une figure de rhétorique intéressante pour accentuer la force d’un énoncé.
On constate qu’au verbe « coule » sont rattachés deux termes : « la Seine » (terme concret) et « nos amours » (terme abstrait). Cela crée une image concrète d’un côté, la Seine qui coule sous le pont, et une métaphore de l’autre, les amours qui passent.
Il existe une autre distinction entre les attelages, plus précisément ceux qui permettent la répétition d’un verbe, qui touche à leur construction. En effet, il existe des zeugmas simples et des zeugmas composés. Les premiers désignent les zeugmes où le verbe employé et sous-entendu est le même :
Ici, le verbe « renoncer » est correctement accordé quel que soit le membre de la phrase auquel on le relie. Cela n’est pas le cas lorsqu’il s’agit d’un zeugme composé :
Cette fois-ci, il y a discorde entre la conjugaison du verbe « être » : dans la proposition « La foudre est mon canon », il est au singulier, alors que lorsqu’il est sous-entendu pour former la proposition « les Destins sont mes soldats », il est au pluriel. L’usage de zeugmes composés peut ainsi créer des dissensions entre les verbes conjugués.
Pour finir, il on peut aussi parler de zeugmas temporels, où l’on retrouve deux verbes conjugués différemment rattachés à un même nom.
Les verbes « sortir » et « brouter », dont le sujet est « Des lapins », sont conjugués au passé simple et à l’imparfait respectivement : il s’agit donc bien d’un zeugme temporel.
- Les figures d'insistance mal-aimées
Rappel : les figures d’insistance permettent de mettre en valeur des mots ou des expressions choisies afin de les mettre en relief, en révélant par exemple leur caractère ironique, poétique, grave, etc… A l’instar d’autres figures de style comme la personnification, elles sont parfois prises pour des fautes de français, puisqu’elles se basent souvent sur la répétition d’un ou plusieurs termes, ce pourquoi il est important de les connaître pour pouvoir les distinguer aisément d’une véritable erreur.
- l'épiphore
Moins connue que l’anaphore, l’épiphore consiste à achever des vers ou des phrases avec les mêmes mots. Il s’agit donc, en quelque sorte, de l’opposé de l’anaphore. L’épiphore permet ainsi de trouver des rimes plus facilement et d’insister sur un énoncé tout en jouant sur le rythme des vers et des phrases.
- la symploque
La symploque est tout simplement l’union d’une anaphore (vue dans la première partie de l’article) et d’une épiphore. En effet, elle se construit en reprenant les mots introduisant et clôturant une phrase ou un vers dans les phrases ou les vers suivants. Là encore, cela permet de faciliter l’obtention de rimes tout en modulant le rythme de la phrase et en insistant sur le propos énoncé.
On peut repérer la répétition de « Qui » en début de phrase, ce qui correspond à une anaphore, et la répétition de « Rullus » en fin d’énoncé, ce qui correspond à une épiphore.
- L'hypotypose
On parle d’hypotypose lorsqu’une scène est dépeinte de façon si précise et détaillée qu’on a l’impression de l’avoir sous les yeux. Cette forme de description vive et souvent énergique permet ainsi de rendre le récit plus vivant en stimulant l’imagination du lectorat. L’hypotypose peut concerner une ou plusieurs phrases, parfois même des pages entières. Elle est alors alimentée d’autre figures de style qui viennent pimenter encore plus le récit (comme l’ekphrasis, qui est une description particulièrement frappante d’une oeuvre d’art ou d’un objet). La force des images mentales formées par hypotypose fait que l’on rencontre très souvent ce procédé dans des domaines comme la publicité ou la politique.
- Les figures de construction cryptiques
Rappel : les figures de construction regroupent les procédés littéraires qui provoquent une rupture ou un désordre dans la construction syntaxique habituelle des phrases, dans le but de jouer sur le rythme ou de surprendre le lectorat ou l’auditoire.
Cette section est vide car j’ai déjà abordé les figures de style qui auraient pu y figurer : il s’agit de l’anacoluthe, de l’hypallage, de l’énallage et du zeugma. En effet, vous aurez remarqué que ces quatre procédés littéraires touchent à la construction et la syntaxe attendues de la phrase, ce pourquoi ils méritent leur place autant chez les figures de substitution que chez les figures de construction.
- La figure intrigante jouant sur les sons
Rappel : parmi les figures de style, on en distingue certaines dont le but est de jouer sur les sonorités et plus particulièrement la proximité entre certains sons ou encore les répétitions de ces derniers : ce sont les figures qui jouent sur les sons.
- L'homéotéleute
L’homéotéleute consiste à répéter, souvent en fin de phrase ou de vers, des mots dont les syllabes finales sonnent de façon similaire à l’oreille. Cette figure de style, parfois considérée comme une assonance, permet donc de faire rimer des membres de phrase plus aisément, ce qui accentue la musicalité du texte grâce à la présence d’échos sonores. Par ailleurs, l’homéotéleute confère un certain rythme aux phrases tout en donnant un côté comique à l’énoncé grâce au comique de répétition ; c’est pourquoi vous la retrouverez fréquemment en poésie ou dans les pièces de théâtre. Il y a des dissensions sur ce qui différencie une rime d’une homéotéleute (outre leur orthographe, qui est beaucoup plus alambiquée pour l’une des deux, je vous laisse deviner laquelle…) : en effet, on peut considérer que l’homéotéleute est simplement une rime, mais on peut aussi défendre le fait qu’il s’agit d’une figure de style à part entière qui nécessite non seulement une proximité phonétique mais aussi une proximité grammaticale entre les syllabes finales (c’est-à-dire qu’il faut que les mots que l’on fait rimer aient la même nature) pour que l’homéotéleute soit efficace.
Notons aussi que l’homéotéleute peut agir comme moyen mnémotechnique, puisqu’elle permet de retenir un énoncé plus facilement grâce aux rimes. Cela en fait donc un outil puissant lorsqu’il est utilisé en politique ou dans le domaine de la publicité;
- Les figures obscures jouant sur le discours
Rappel : les figures jouant sur le discours font appel à des formes particulières de discours afin de piquer l’intérêt de leur auditoire, l’interpeller ou encore lui faire ressentir des émotions diverses, en fonction des procédés employés (qui peuvent très bien être d’autres figures de style).
- L'épanorthose
Lorsque l’on revient sur une parole prononcée pour la reformuler, la nuancer, l’affaiblir, l’affirmer ou même la rétracter, nous nous rendons coupable d’un tour de rhétorique l’on nomme épanorthose. Cette figure de style témoigne d’une volonté de trouver le mot juste, de décrire quelque chose de façon précise et exacte ; elle peut aussi mettre l’emphase sur une partie de l’énoncé si on souhaite donner plus de force et d’énergie à celui-ci. Aussi appelée « rétroaction », l’épanorthose se rencontre fréquemment au théâtre, en effet, selon le but dans lequel elle est utilisée, elle peut trahir les émotions des personnages et leurs intentions.
L’épanorthose dans la description du nez de Cyrano permet d’insister sur la taille de ce dernier, mais ce n’est pas la seule : en effet, cette partie de la tirade contient aussi une gradation ascendante à portée hyperbolique, ce qui crystallise encore plus l’attention sur la taille du nez de Cyrano.
Dans cette partie du soliloque de Suzanne, celle-ci revient sur ses mots, rectifie constamment ses propos, à la recherche du mot juste pour qualifier le contenu des lettres que son frère lui envoie. Grâce à cette épanorthose, qui aboutit sur une phrase résumant la pensée de Suzanne, le lectorat comprend donc aisément que celui-ci communiquait de façon lacunaire avec sa famille. On aurait d’ailleurs pu citer plein d’autres passages de Juste la fin du monde pour illustrer le principe de l’épanorthose, Lagarce étant particulièrement friand de ce procédé littéraire qui met en exergue les difficultés de communication et les relations difficiles qu’entretiennent les membres de la famille de Louis, le personnage principal.
- L'aposiopèse
En parlant des figures préférées de Jean-Luc Lagarce, connaissez-vous l’aposiopèse ? Bien que son nom ne vous dise probablement rien, il est probable que vous l’ayez déjà rencontrée et même utilisée moultes fois. En effet, l’aposiopèse est une figure de rhétorique qui consiste à s’arrêter au milieu d’une phrase ou d’un énoncé et d’en laisser la fin en suspens, souvent à l’aide de points de suspension. C’est alors au lectorat ou à l’auditoire d’imaginer les propos qui ont été tus à l’aide du contexte, de la syntaxe et du sens de la phrase, afin de saisir une éventuelle allusion ou un sous-entendu. Cela permet d’entretenir le suspense tout en captivant les personnes qui assistent à la scène, ce pourquoi cette figure de style se rencontre fréquemment au théâtre, le ton aidant à lui donner de la force.
Lagarce n’est pas le seul à employer de nombreuses figures jouant sur le discours : Molière en fait aussi couramment usage, notamment dans les stichomythies, c’est-à-dire dans les dialogues entre personnages où les répliques ne sont pas plus longues qu’un vers. Là où l’aposiopèse peut être utilisée pour illustrer une hésitation, elle peut aussi introduire une menace, un conseil ou un avertissement, comme c’est le cas ici.
- La réticence
Similaire à l’aposiopèse, la réticence est une figure de rhétorique caractérisée par un refus de compléter une phrase, pour des raisons psychologiques notamment. L’énoncé est donc interrompu brusquement au profit du silence, ce qui laisse le soin au lectorat ou à l’auditoire de combler les trous à l’aide du contexte et des informations dont il dispose. Pour que la réticence fonctionne, il faut donc donner aux gens suffisamment d’informations pour qu’ils aient le potentiel de comprendre ce que sous-entend la phrase interrompue. Mais il ne faut pas en donner trop non plus, car c’est là que réside la force de la réticence : elle fait appel à l’imagination du lectorat, ce qui permet de lui faire ressentir des sentiments bien plus nombreux et frappants et émettre bien plus d’hypothèses que ce que pourraient lui suggérer des mots couchés sur le papier.
La limite entre l’aposiopèse et la réticence peut paraître fine, voire inexistante. Selon certaines sources, elle existe bel et bien et se caractérise par certaines choses : par exemple, selon Nicolas Ricalens-Piurchot, la différence entre les deux se situe dans le fait que l’aposiopèse contient une digression, ce qui n’est pas le cas de l’aposiopèse. Néanmoins, vous pourrez constater que l’exemple d’aposiopèse ci-dessus n’en contient pas, d’où le fait que l’on ne vienne pas vous flageller si vous faites l’amalgame entre l’aposiopèse et la réticence : pour beaucoup de personnes, c’est du pareil au même. C’est pourquoi l’exemple qui suit pourrait être considéré comme une aposiopèse, et que j’aurais très bien pu remettre la citation de Molière comme exemple de réticence, nombre d’entre vous n’y verrait que du feu (moi y compris, je le crains).
La réticence de la locutrice à dévoiler la vérité est palpable : elle s’interrompt, de peur de « désoler » le marquis, et lui laisse le soin d’imaginer ce qu’elle a bien pu vouloir dire. L’effet est réussi puisque, par la suite, celui-ci lui pose deux questions qui montrent qu’il s’interroge, qu’il imagine des choses. Il en est de même pour le lectorat, qui reste dans l’attente de la vérité.
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