Terminer le premier jet d’une histoire, aussi courte qu’elle soit, est un défi pour de nombreuses personnes. Entre la page blanche, la honte, la peur de décevoir ou la fatigue, les obstacles sont nombreux. Il faut apprendre à se laisser aller, redécouvrir le plaisir de l’écriture, accepter les
moments de frustration et oser se donner le petit coup de pied aux fesses dont on à parfois besoin
pour aller jusqu’au bout. J’aimerais vous proposer deux petits bottages de train dans cet article, celui de Bernard Werber et celui de Neil Gaiman